Les écureuils sont présents dans tout le quartier. Certains d'entre nous passent de sympathiques moments à les observer courir sur les fils téléphoniques et dans les nombreux arbres alentours.
Une de nos adhérentes passionnée de photographie a réussi à immortaliser quelques uns de leurs passages chez elle.
Regardez ses superbes photos !
cliquez sur la photo pour l'agrandir
Par ailleurs voici également une fiche qu'elle a spécialement réalisée pour le blog :
L’écureuil roux
L’écureuil roux (Sciurus
vulgaris) est un rongeur de la famille des Sciuridés. Son nom dérive du mot
grec skiouros qui signifie « celui qui s’assied à l’ombre de sa
queue ». Sa belle queue en panache de 15-20cm de long lui sert tantôt de parasol,
de cache-nez ou de couverture, mais aussi de balancier lorsqu’il saute d’arbre
en arbre.
Souvent roux, parfois plus foncé, voire noir, le pelage
présente des variations régionales ou saisonnières. Le ventre est toujours
blanc. En hiver, des pinceaux de poils ornent les oreilles, mais ils
disparaissent lors de la mue de printemps.
Répartition et
habitat
Il vit à peu près partout en Europe et en Asie jusqu’au
Japon, à 2000m d’altitude tout au plus. Les forêts et les bois ainsi que les parcs
et jardins situés à proximité constituent son habitat de prédilection.
Mode de vie
Il vit en solitaire sur un domaine de 3 à 8 ha dont il
marque les frontières par des dépôts d’urine et de sécrétion de glandes situées
autour de la bouche. Les domaines de plusieurs écureuils peuvent se recouper.
Sur son domaine, un écureuil a plusieurs nids, appelés
hottes. Chaque nid est installé à 5-10m de hauteur, dans une cavité de tronc,
un ancien nid de corvidé ou est construit par l’écureuil lui-même dans le houppier de l’arbre. L’écureuil
rassemble branchettes et feuilles sèches pour le former. Le diamètre extérieur
atteint 30 à 50cm tandis que celui de la cavité intérieure n’est plus que de 12
à 20cm. L’intérieur est tapissé d’une
épaisse couche de mousse, d’herbes sèches, de poils, de plumes, éventuellement
de bouts de tissus trouvés ici ou là. Le nid principal sert de refuge hivernal
et de lieu de mise bas.
Diurne, l’écureuil entre en activité dès le lever du jour.
Après une pause dans la journée, il est de nouveau actif en fin d’après-midi,
voire jusqu’à la nuit tombante quand il fait chaud. L’activité est réduite par
temps froid, lorsque la température dépasse 24°C, ou encore quand il y a du
vent.
Très adroit, l’écureuil se déplace à toute allure, en
s’aidant de ses griffes et de sa queue.
L’écureuil n’hiberne pas mais, s’il fait très froid, il
reste engourdi dans son nid qu’il partage parfois à cette occasion.
Très expressif, il communique avec ses congénères par des
petits cris, des gloussements divers et des mouvements saccadés de queue. « En
colère », il pousse des cris, tape des pattes et balance sa queue.
Régime
alimentaire
Il se nourrit essentiellement de graines : glands,
noisettes, faînes, châtaignes, noix, samares d’érable, de frêne ou d’orme, graines
des cônes de pins ou d’épicéas, sans oublier celles qu’il trouve dans les
mangeoires à oiseaux installées près de nos habitations.
Il consomme aussi des pousses d’arbres, des feuilles de
pissenlit, des fleurs de merisier, des bourgeons à fleurs, des fruits comme les
cerises et les fraises de nos jardins, des champignons, des lichens, des
écorces, et plus rarement des insectes, des vers, des escargots, des limaces,
des œufs d’oiseaux et même des oisillons.
En automne, il cache des graines au pied des arbres,
constituant des provisions qu’il utilise pendant l’hiver … quand il les
retrouve! En raison de cette prévoyance, il a été choisi comme emblème par la
Caisse d’Epargne.
Il a besoin de boire notamment lorsque son alimentation
contient peu d’eau. Il vient boire aux points d’eau mis en place pour les
oiseaux près des maisons.
Reproduction
La période de reproduction commence entre mi-décembre et fin
mars selon la rudesse de l’hiver. Les courses-poursuites entre mâles ou entre
mâles et femelles animent alors la forêt.
Il n’y a pas de vie en couple.
La mise bas a lieu après une gestation de 38 jours. Les petits,
au nombre de 2 ou plus, jusqu’à 8, sont allaités par leur mère pendant 2 mois. En
cas de dérangement, elle les transporte
un à un dans un autre nid, en les prenant entre ses dents par la peau du ventre.
A 3-4 mois, les jeunes deviennent indépendants. Ils établissent leurs domaines
et leurs nids.
Si les conditions environnementales –alimentation et climat–
sont bonnes, il peut y avoir une deuxième portée annuelle fin août-début
septembre. Cependant, le taux de survie des petits nés tardivement est beaucoup
moins bon.
Dans la nature, un écureuil vit de 5 à 7 ans.
Statut et protection
Son inscription
à l'Annexe III de la Convention de Berne (19 septembre 1979) protège l’écureuil
dans toute l’Europe.
En France, l’écureuil est de plus protégé par l’arrêté qui
fixe la liste de Mammifères terrestres protégés et leur mode de protection (dernière
version datée du 23 avril 2007). Pour l’écureuil, cet arrêté stipule notamment qu’il
est interdit de détruire, altérer ou dégrader les sites de reproduction et les
aires de repos de cet animal.
Malgré cela, l’effectif des populations
ne cesse de baisser. Plusieurs facteurs anthropiques sont incriminés :
- le mode de gestion forestière avec
des pratiques telles que le débroussaillage des sous-bois, les coupes à blanc
et l’exploitation sélective des essences,
- la pollution et les pesticides,
- les chiens et les chats domestiques
qui exercent une certaine prédation dans les bois proches des habitations,
- le trafic routier fait de
nombreuses victimes en l’absence de couloirs biologiques en nombre suffisant.
Depuis 2007, une enquête est menée
conjointement par l’ONF, la SFEPM et le Muséum National d’Histoire Naturelle,
pour mieux connaître la répartition de l’écureuil sur le territoire français. Voir http://www.sfepm.org/ecureuilroux.htm
Pour en savoir plus
- Un livre : L’écureuil. Albert et Jacqueline Visage,
Gérard Grolleau. Artemis Editions, 2005.
- Un site : http://grifouniou.free.fr/sosecu2/index.htm
(surtout pour les photos).
Parution dans le Journal officiel de la République française de la déclaration de création de l'association CRICQUETS sous le N°945.
Déclaration à la préfecture de la Loire. COLLECTIF DES RIVERAINS POUR LA QUALITE DE L'ENVIRONNEMENT DE LA TOUR EN JAREZ SUD (CRIQUETS). Objet : promotion des intérêts du quartier de la Tour en Jarez environnant les rues du Lavoir, de la Vignasse et des Chemins du Crêt, de l'Octroi et de la Poudrière; et préservation de la qualité du cadre de vie de ses habitants notamment dans les domaines de l'urbanisme et de l'environnement. Siège social : Le Crêt de Montreynaud, 42580 La Tour-en-Jarez. Date de la déclaration : 29 mai 2008.
Dans l'ESSOR LOIRE du 30 mai 2008, un article sur la Tour en Jarez parle, sans le nommer, du projet de la rue du Lavoir "un programme immobilier est en cours sur les derniers arpents, assez contraint par la pente ici, qui soient livrés à la construction. Quatre petits immeubles d'une douzaine de logements, chacun permettra à de jeunes ménages issus de la commune d'y trouver résidence."
L'assemblée générale qui clôture la 1° année d'existence de l'association s'est déroulée le mercredi 17 juin à 19h Tous les membres du bureau étaient présents excepté le secrétaire adjoint. Plusieurs adhérents étaient également venus en solo ou en famille.
Une de nos adhérentes s'intéresse beaucoup à la faune. Voici quelques informations sur 2 espèces mal connues que l'on peut rencontrer dans notre quartier : Tritons et Salamandres
Ce
sont des Amphibiens Urodèles de la famille Salamandridés.
Le triton alpestre (Mesotriton alpestris, anciennement
Ichthyosaura alpestris ou Triturus alpestris ) et la salamandre
tachetée (Salamandra salamandra) - également appelée salamandre
terrestre ou salamandre de feu - vivent à proximité des points d'eau stagnante : mares,
sources, ruisseaux à faible débit, etc. Ces habitats
aquatiques peuvent être entourés de milieux terrestres très divers : prairies,
bois, landes, jardins, terrains vagues, etc.
Le
triton alpestre se rencontre jusqu’à 3000 m d’altitude alors que la salamandre
tachetée est inféodée à la moyenne montagne. Autre différence, le triton
alpestre, très bon nageur, passe une partie de l’année en milieu aquatique
alors que la salamandre est terrestre.
Chez
le triton alpestre, le mâle mesure 8-10 cm, la femelle 10-12 cm. Le corps brun, verdâtre ou gris bleuté avec des tâches plus
ou moins visibles, présente un ventre jaune orangé à rouge.
Photo
Mathieu Denoël
La salamandre tachetée mesure 17-22 cm, les femelles étant
plus grandes que les mâles. La peau lisse et luisante, de couleur noire,
présente des points et traits jaunes (parfois orangés) irréguliers, plus ou
moins disposés en ligne. La peau est munie de nombreuses glandes dont les
sécrétions constituent un moyen de défense efficace contre les prédateurs.
Photo Pierre-Yves Vaucher
Pendant
la journée, ces batraciens restent cachés dans des cavités souterraines, sous
des pierres, des troncs d’arbres pourris, des tas de bois, des accumulations de
feuilles mortes. Ils sortent la nuit,
rampant lentement sur le sol à la recherche de nourriture : vers,
insectes, limaces, araignées, vers de terre, œufs et têtards de batraciens…
Fin
octobre-début novembre, ils se réfugient à l’abri du gel pour hiberner, souvent
en groupe. Ils redeviennent actifs en février-mars lorsque les grands froids
s’éloignent.
Reproduction
Le triton
alpestre : Chaque année, au printemps, les tritons alpestres
quittent leur gîte terrestre pour rejoindre un milieu aquatique, site de
reproduction pour lequel ils peuvent montrer une certaine fidélité. La femelle fécondée pond 100 à 500 œufs sur la
végétation aquatique. Après 1 à 2 semaines, les têtards sortent de l'oeuf. Ils n'ont pas encore de pattes et respirent à l'aide de branchies externes situées à hauteur de leur tête. Peu à peu apparaissent une nageoire le long du corps et de la queue, les 2 pattes avant puis les 2 pattes arrière. Ils sortentde l'au lorsqu'ils sont complètement formés et ont perdus leurs branchies.
La salamandre tachetée : Les
salamandres tachetées s'accouplent exclusivement hors de l'eau, soit en
septembre, soit en avril-mai selon les régions et surtout dès que les
conditions climatiques sont réunies : humidité importante après une
période de sécheresse et en dessus de 5°. Ovovivipares, les femelles déposent
les œufs (10 à 70) dans des flaques, des petits cours d'eau, près des sources,
là où la vitesse de courant est faible. Les œufs éclosent immédiatement au
contact de l’eau pour donner naissance à des larves. Les juvéniles quittent
l'eau environ trois mois plus tard (selon la température et l’altitude) après
leur métamorphose.
Statut
Les 2 espèces sont protégées dans la plupart des pays d'Europe via leur inscription à l'Annexe III de la Convention de Berne (19 septembre 1979).
En
France, elles sont protégées par la
Loi 76-629 de 1976 relative à la protection de la nature.
Elles sont inscrites sur la
Liste rouge française des Mammifères, Reptiles et Amphibiens
de mars 2008.
Mesures de conservation
En
dépit de leur protection, ces espèces sont en régression constante. Plusieurs causes semblent pouvoir être incriminées :
- le recul des zones humides intra et péri forestière par
comblement ou drainage,
- la contamination de l’environnement par les pesticides,
- la fragmentation éco paysagère en général et des forêts
par les routes en particulier,
- l'ajout de poissons
prédateurs ou de canards dans les étangs.
La
priorité est de conserver à l'état naturel les sources et les mares ainsi que
la végétation des rives. La gestion du domaine terrestre doit être respectueuse
de l'environnement avec des interventions limitées, des travaux forestiers non
destructeurs, le maintien des ambiances forestières en laissant sur place du
bois mort, des troncs inexploités et des branchages.
La
fréquentation excessive de certains sites de reproduction (piétinement,
destruction de la végétation, perturbation du cours d'eau) doit être contrôlée.
L'empoissonnement
des têtes de rivières et des étangs forestiers est à limiter ou éviter.
Nos remerciements à :
M. Mathieu Denoël pour nous avoir autorisés à utiliser l’une
de ses photos de triton alpestre. Pour plus d’informations, consulter son
article très complet à l’adresse web suivante : http://www.etho.ulg.ac.be/denoel/tritons.html
M. Pierre-Yves Vaucher pour sa révision du texte ci-dessus
et son autorisation de l’illustrer avec l’une de ses photos de salamandre. Pour
plus d’informations, consulter son très beau site : http://www.batraciens-reptiles.com
Avec l'arrivée du froid, nous assistons au ballet des oiseaux près d'une mangeoire. Il s'agit principalement de mésanges bleues, de rouges-gorges familiers, d'une sittelle torchepot au dos bleu-gris et ventre brun-orangé, d'un pic épeiche mâle avec ses tâches rouge vif sans parler des nombreux merles noirs. Toutefois ce dernier est très sauvage et s'envole à la moindre approche d'un humain muni d'un appareil photo !
depuis quelques jours, à l'entrée de la commune sur l'ancienne route nationale, on peut remarquer de nouveaux panneaux :
L'implantation de ces panneaux a été validé lors du conseil municipal du 5 février : "En accord avec la commune de l’Etrat, en minima deux panneaux «voisins vigilants» seront installés.
Et aujourd'hui :
Voisins vigilants, c'est quoi ?
L'article du Nouvel Observateur du 20/11/2011 explique comment fonctionne ce dispositif qui a été mis en place par le Ministère de l'Intérieur en 2007 : http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20111018.OBS2762/les-voisins-vigilants-comment-ca-marche.html
Information trouvée sur le site internet du Progrès en date du 25/02/2014 :
En juin 2013, 6 communes, Sorbiers, L’Etrat, La Tour-en-Jarez, La Fouillouse, Saint-Héand et Saint-Christo-en-Jarez, ont signé le protocole d’accord avec la Gendarmerie de Sorbiers.
Information trouvée sur le site de la mairie de la Tour en Jarez en date du 3/04/2014 :
La gendarmerie de la Loire interpelle les communes pour renforcer davantage le dispositif « Voisins Vigilants ». Elle en appelle aux concitoyens pour signaler systématiquement toute présence ou véhicule suspects. Vous trouverez ci-joint le flyer de la Gendarmerie avec tous les conseils pour éviter l’intrusion!
Depuis juin 2013, les habitants du quartier doivent s'habituer à la présence d'un nouveau voisin imposant :
Un pilône de 22,50m avec une antenne relais situé sur un pré du chemin du Crêt.
C'est l'opérateur BOUYGUES TELECOM qui en est le maître d'oeuvre.
Un petit tour sur internet a permis de trouver ces différentes informations :
cette antenne fait partie du programme test de lancement de la technologie 4G 800MHz dans les réseaux de téléphonie de Bouygues Telecom, Orange et SFR.
la région stéphanoise a été choisie comme test. Test effectué d'avril à décembre 2013. Les 22 communes concernées par ce test :
Saint‐Etienne, Caloire, Fraisses, Saint‐Chamond, Saint‐Christo‐en‐Jarez, Saint‐Paul‐en‐Cornillon, Saint‐Priest‐en‐Jarez, La Tour‐en‐Jarez, Le Chambon‐Feugerolles, l’Etrat, Firminy, la Ricamarie, Roche‐la Molière, Saint‐Jean Bonnefonds, Sorbiers, La Talaudière, Unieux, Villars, Saint‐Genest‐ Lerpt, Saint‐Ferréol d’Auroure, Saint‐Romain‐les‐Atheux et La Fouillouse.
Informations détaillées de ce test :
En allant sur internet, voici 2 articles sur ce test :
Mais AUCUNE MESURE en V/m pour vérifier les seuils d'exposition au public de la 4G sont de (fixée par un décret en 2002 et identique à celle de la recommandation européenne de 1999.
Risques sanitaires ?
Si les risques sanitaires (maux de tête, insomnies, fatigue, etc.) dus à l’implantation des antennes-relais à proximité des lieux de résidence restent difficilement identifiables et non avérés, l’éventualité et le manque de certitudes suscitent de réelles préoccupations chez les riverains. Une crainte souvent alimentée par un manque d’informations.
Les antennes-relais 4G présentent-elles un danger pour la santé des riverains ?
Les autorités sanitaires indiquent n’avoir identifié aucun risque pour la santé des riverains (circulaire de novembre 2011 - Ministères chargés de la Santé et de l’Ecologie). Elles s’appuient sur l’analyse de l’ensemble des études, rapports et opinions sur les ondes radio au niveau mondial. De façon plus générale, en France et à l’étranger, les agences publiques chargées d’évaluer les connaissances scientifiques indiquent à propos des ondes radio qu’il n’existe aucune preuve scientifique d’un danger pour la santé lorsque l’exposition est inférieure aux seuils recommandés par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Cette position vaut pour l’ensemble des ondes radio (fréquences entre 10 kHz et 300 GHz), quels que soient le service, l’appareil, le signal et la technologie. Les seuils recommandés par l’OMS sont les seuils réglementaires en vigueur en France.
En conclusion:
Un dossier technique qui appelle certainement d'autres questions/réponses.
Pour ceux qui veulent en savoir plus, le site internet ROBIN DES TOITS donne une foule de renseignements.
Dossier à suivre lors de la prochaine Assemblée Générale.
Depuis la grosse chute de neige de novembre dernier, des élagages d'arbres ont été opérés (par la mairie ?, les propriétaires ?).
Toutefois, un nouvel arbre s'est abattu en travers sur la rue de la Vignasse durant la nuit du réveillon de Noël, suite à des bourrasques de vents importantes.
Il a été rapidement évacué puisqu'en fin de matinée (et peut être avant), la rue était à nouveau dégagée.
Ceci soulève le problème de l'éventuelle fragilité d'autres arbres situés sur le côté de cette rue (côté forêt) et donc d'éventuelles futures chutes en cas de nouvelles bourrasques de vent ou chutes de neige.
A qui appartiennent les terrains, notamment ceux situés en bas et au niveau du container à verres ?
Est-ce ques les débris de l'élagage au niveau du container vont être évacués ?
Un an après le dernier message, rien de bien nouveau Rue du Lavoir. Et c'est très bien comme ça !
Les travaux des maisons qui devaient commencer en octobre 2011 puis février 2012 ne sont toujours pas lancés à ce jour.
Aux dernières nouvelles, plusieurs maisons avaient été vendues. Ce sont celles prévues sous le virage de la rue qui auraient été vendues en premier (si on se réfère au plan du projet, les maisons M1 à M4)
Après les prochains feux d'artifice du 14 juillet , et pour les amateurs de la voute céleste :
La grande fête de l'astronomie
Les Nuits des étoiles 2014 auront lieu les 1°, 2 et 3 août 2014. Partout en France et dans plusieurs pays d’Europe et d'Afrique, des centaines de sites vous accueilleront à nouveau pour contempler la voûte céleste. Les organisateurs s’attachent à renouveler chaque année une manifestation gratuite, ouverte à tous, dans l’esprit d’un partage des connaissances et d’une découverte du ciel pour tous.
Plus d'infos pour les amateurs sur : http://www.afanet.fr/Nuits/default.aspx
Le samedi 20 SEPTEMBRE aura lieu la 6° édition du JOUR DE LA NUIT.
Non pas une référence à la commémoration du débarquement de la 2° guerre mondiale,
mais parce que c'est le calendrier solaire qui le dit !
Jour le plus long, nuit la plus courte ... il n'y a qu'un pas pour parler de la nuit noire...
Ouvert à tous, le Jour de la Nuit est une opération de sensibilisation à la protection de la biodiversité nocturne et du ciel étoilé ainsi qu’une prise de conscience du problème de pollution lumineuse.
Pour cela, l’événement repose sur l’organisation de manifestations et animations par une multitude de structures, associations et collectivités locales dans les territoires. Grâce à ces activités diverses organisées partout en France, l’événement permet la découverte ludique de la faune et de la flore et l’observation des étoiles avec des astronomes avertis. En parallèle, les villes sont invitées à éteindre symboliquement une partie de leur éclairage public.
La sixième édition du Jour de la Nuit se déroulera le Samedi 20 septembre prochain. Cette édition sera placée sous le signe de la transition énergétique avec le projet de loi de programmation pour la transition énergétique et la COP21 présidée par la France en 2015.
Par connaissance, nous avons appris qu'il existait un nouveau service à la Ville de St Etienne :
Une équipe de 10 agents à votre écoute de 8h à 18h, du lundi au vendredi qui :
vous oriente vers l'interlocuteur que vous aurez demandé
vous informe sur la municipalité
vous donne un rendez-vous pour un nouveau passeport
transmet vos demandes de proximité et vous apporte les réponses des services
C'est par ce biais que nous avons informé ce jour la ville de St Etienne sur le problème de stockage des branches de l'arbre débité lors de la grosse chute de neige de novembre dernier et sur la prolifération des mauvaises herbes à ce même endroit.
Notre demande va être transmise au service "Espaces verts" et une répone nous sera donné par téléphone.
A SUIVRE ......
Lundi 28 juillet : nouvel appel au service St Etienne Bonjour qui dit ne pas avoir eu de retour du service Espaces Verts. Va relancer et nous rappelera pour nous informer.
Le sujet de la décharge LANA n'a pas été abordé ce matin avec la personne de ce service. En attente de savoir si on le traite séparément avec la mairie de St Etienne ou conjointement avec la mairie de la Tour en Jarez dans le cadre des travaux d'élagage de l'automne et de l'expertise.
Quelques nouvelles depuis notre réunion du 4 juillet dernier.
A ce jour l'association compte 16 adhérents et 3 achats groupés ont été lancés :
FIOUL DOMESTIQUE
livraison prévue vendredi 25 juillet.
RAMONAGE
Véronique et Béatrice se sont proposées
ATTENTION : Si vous optez pour l'achat groupé, n'oubliez pas d'enlever cette prestation de votre contrat d'entretien de chaudière, comme c'est le cas chez plusieurs d'entre nous. Il faudra bien préciser également le nombre de conduit à ramoner (chaudière et éventuellement cheminée/insert/poêle).
BOIS DE CHAUFFAGE
Nicolas propose de s'en occuper
Merci à tous pour votre implication et échange d'adresses qui aideront les adhérents en charge des achats.
Le Bureau tiendra à jour un fichier de prestataires avec leur prix pour les futures consultations.
Si vous avez d'autres idées d'achats groupés, n'hésitez pas à le faire savoir.
Plusieurs riverains de la rue de la Vignasse ont été privé de téléphone / internet durant plusieurs jours suite à l'arrachage de la ligne téléphonique aérienne au niveau du feu.
Ce n'est pas la première fois qu'une telle mésaventure arrive car la ligne n'est pas très haute.
C'est fort probablement un camion du chantier des maisons de la rue du Lavoir qui en est à l'origine.
Lors de l'apéritif organisé à l'issue de l'opération "Nettoyage de printemps" sur les rives de l'Onzon, notre présidente a pu discuter avec le maire et son adjoint à l'urbanisme du projet de la rue du Lavoir.
Elle leur a fait part de l'étonnement des habitants du quartier à la lecture de l'article du bulletin municipal et a réaffirmé l'opposition des membres de CRIQUETS à la réalisation de 12 logements.
D'après le Maire, il est impossible de descendre en dessous de 12 logements si on veut conserver des réalisations HQE (haute qualité environnementale) car même ainsi l'opération serait déficitaire.
Il a aussi avoué qu'il avait beaucoup de mal à trouver un maître d'œuvre pour la réalisation et notre Présidente en a profité pour lui glisser qu'à son avis ce projet n'était pas économiquement viable car il se trouverait fort peu d'acquéreurs pour acheter un appartement dans un quartier à caractère rural et sans aucune commodités.
Il lui a alors fait part de ses craintes, en cas de vente par parcelles de voir construire d'affreuses maisons.
Il a par ailleurs confirmé que les travaux de réfection de la rue du Lavoir étaient programmés prochainement.
La Mairie a adressé un courrier aux habitants du quartier début août.
Il s'agit d'une nouvelle réunion concernant l'aménagement de la rue du Lavoir.
La Mairie présentera le "projet rectifié en fonction notamment des souhaits et observations émises par les riverains." le samedi 4 septembre à 11H à la salle des Associations.
Le dossier, qui était en sommeil depuis près d'un an, ressort donc des cartons.
Nous espérons que tout le monde pourra répondre présent.